http://capri.vefblog.net/

  VEF Blog

Tendresse

posté le 01-09-2012 à 00:33:54

Elle s'appelle Maman...

 

 

 

Combien de mots devrai-je prononcer ?

Combien de larmes, de sang devrai-je verser ?

Pour la remercier...

 

Elle, qui neuf mois m'a portée

Elle, qui m'a allaitée et bercée 

Elle, qui des nuits a veillé à mes côtés

 

Qui a tout supporté, pour voir sur nos lèvres un sourire dessiné 

Qui m'a tant donnée de leçons et m'en donne encore

Un ange tombé du ciel 

Une pure merveille 

 

Elle, qui même quand elle s'éloigne me protège

Sa voix, qui en moi résonne tout le temps pour me rassurer 

Cette femme qui a tout sacrifié pour me redonner la vie 

 

Elle, qui a pleuré, qui a travaillé des jours et des nuits pour enfin me voir guérie 

Elle cherchait son enfance, son bonheur envolé, en nous mettant au monde 

Elle, qui fillette a tout perdu, qui a souffert en silence, qui a tenté de fuir la vie...

 

Elle qui prie, qui nous unit malgré la différence 

Oui, elle s'appelle Maman 

Ma chère maman qui me couvre et me protège 

 

Une étoile qui brille dans le ciel 

Un phare qui dans la nuit illumine mon chemin 

Mon symbole d'innocence et de générosité 

 

Maman, je t'aime, et je t'aimerai jusqu'à mon dernier souffle...

 

Articles liés
 


 
 
posté le 25-08-2012 à 00:56:27

Invincible

 

 

J'ouvre mes yeux

Quittant un rêve où je t'ai vu...

Ma bouche entrouverte devant mon miroir, veut prononcer des mots

 

Ta voix résonne, celle qui me faisait rêver...

S'infiltre dans tous les coins de mon être

Si affaibli, déchiré, souffrant de ton absence, de ton silence...

 

Toujours là, je m'en souviens, un amour qui me console encore

Du matin jusqu'au soir, je te sens, et mon cœur bat fort 

Dans mes cheveux, mes vêtements, dans tout ce qui m'appartient il y a...Ton odeur ! 

 

Peu importe ce qu'ils disent...

Pour moi, tout cela a une immense valeur 

Qu'on s'en moque, ils ne savent pas ce qu'il m'évoque 

 

Oui, c'est une réalité, acceptée, mais je ne peux oublier 

Le temps passe, mais je ne m'en lasse 

Vous vous êtes trompés, lorsqu'un jour vous m'avez dit en riant "Tu vas oublier...!"

 

Permettez moi de vous dire que ce n'est pas vrai

Car en moi, c'est de plus en plus fort, de plus en plus beau 

Et je n'en pleure pas seulement 

Nos chansons, nos mots doux, nos fous rires...

Tout cela, aujourd'hui me fait sourire 

 

Il était mon bonheur, il l'est encore, et le sera à tout jamais 

Comment puis-je oublier ce qu'en mon coeur était pur et véritable ? 

Même imparfait, écrasé par une réalité 

 

On guérit nos plaies

Mais une image reste gravée

Celle de l'être aimé !

 

Articles liés
 


Commentaires

 

1. lumaee  le 07-09-2012 à 22:38:47  (site)

Tu as mes bras grands ouverts...pour te consoler et t'apaiser, si seulement je le pouvais

2. Capri  le 15-09-2012 à 15:56:48

Je le sais bien, et je te remercie, sache que mon cœur aussi, dans lequel tu resteras ancré, te sera toujours grand ouvert...

 
 
 
posté le 09-08-2012 à 03:41:32

Un tableau inachevé

 

 

 

 

C'était écrit : Le jeu est fini !

Je n'avais pas encore tout dit 

Mais tout était déjà mort, avant le début d'une belle vie

Je comprends maintenant, qu'il était temps de quitter le paradis...

 

Je connais le goût de ce poison 

Qui tue progressivement 

 

La faiblesse que j'ai toujours cachée

Sans m'en rendre compte, je l'ai dévoilée

Trop tard pour tout recommencer 

Je le sais

 Je n'étais qu'un pion 

sur le grand échiquier 

 

J'avais obéi à des ordres

J'avais foncé sur un obstacle

Je savais que promesses non tenues n'étaient pas acceptées

 J'ai exécuté...

 

J'ai tendu mes mains, mon cœur à ce rêve sans hésiter

Pour me retrouver face au vent d'une porte claquée

Tentative de sauver ce qui restait

Une seule moitié a pu survivre à ce qui était capable d'étrangler

L'autre n'a pas eu de bouée 

Pour résister

 

Au beau milieu de l'océan 

Aucune direction

 

Sur un instrument poussiéreux

En mélodies larmoyantes

J'ai avoué des mots 

 

Je n'avais qu'une envie

Raconter, dire

Ce qui n'a jamais été dit

 

Pas de colle pour mes débris...

 

C'était ma fin prévue, moi l'être qui a aimé sans mesurer 

Non, cela ne fait plus mal 

Maintenant, et rien à regretter

Même après un secret dévoilé

 

Je reste heureuse

 car dans les couleurs de ce tableau inachevé

Il y avait des chansons 

 Pour un être qui méritait

Mon amour simple, mais plein de sincérité...

 

 

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article